Le Burkinabé Jonathan Pitroïpa, ici en compagnie du manager général du Stade Rennais, Pierre Dréossi, espère s'épanouir et s'imposer en Bretagne. |
Stade Rennais. Jonathan Pitroïpa (25 ans) a été officiellement présenté hier, à Carnac. À cette occasion, l'international burkinabé est revenu sur son parcours et son arrivée au sein du club breton.
À une époque où les acteurs du ballon rond trouvent de bon ton chaque été, lorsqu'ils paraphent leur contrat dans un nouveau club, de prétendre vouloir s'inscrire dans la durée, le parcours et le discours de Jonathan Pitroïpa, troisième recrue du Stade Rennais, ont de quoi surprendre. À vingt-cinq ans, le Burkinabé connaît seulement depuis deux jours son troisième club, lui qui, à son arrivée sur le Vieux Continent, à l'âge de dix-sept ans, passa quatre ans à l'extrême sud-est de l'Allemagne, à Fribourg, avant de mettre le cap au Nord, vers Hambourg, où il évolua au cours des trois dernières saisons. « Lorsque j'arrive dans un club, mon but est d'essayer de m'intégrer du mieux possible et d'aider l'équipe à évoluer et à atteindre ses objectifs, assure le natif de Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso. Bouger chaque année n'y aide pas, ce n'est pas bon. J'ai besoin de stabilité. » « Gagner en constance »
Après avoir tâté le cuir au sein de la pépinière « Planete Champions », c'est outre-Rhin que Pitroïpa a véritablement démarré sa carrière, en même temps qu'une nouvelle vie. « J'ai eu du mal en arrivant à Fribourg, se souvient le double demi-finaliste de la Ligue Europa avec Hambourg (2009, 2010). Comme je venais d'un pays francophone, je me voyais davantage évoluer en France. Heureusement, la présence de Wilfried Sanou, un coéquipier burkinabé, m'a permis de m'intégrer plus facilement. Aujourd'hui, c'est comme un frère pour moi. J'avais dix-sept ans lorsque je suis arrivé là-bas et, étant donné que j'avais signé un contrat professionnel, je ne pouvais pas jouer avec la réserve. Il m'a fallu attendre la deuxième saison pour pouvoir faire mes débuts. »
Malgré ce contretemps devant lequel certains auraient baissé les bras, celui qui avoue sa préférence pour le flanc gauche de l'attaque (« pour pouvoir rentrer sur le pied droit et frapper ») a redoublé d'efforts pour s'imposer. « C'est en Allemagne que j'ai appris à devenir professionnel. C'est un très bon championnat et, au niveau de l'organisation au sein des clubs, les choses sont strictes et carrées. »
À l'écouter, son choix de rejoindre Rennes s'inscrit dans une certaine logique. « Cela fait deux ans que le club me suit. Ici, j'espère gagner en constance, au sein d'une formation jeune, talentueuse et ambitieuse. Le championnat est plus fermé qu'en Allemagne alors il faudra que je sois le plus décisif possible si je veux aider l'équipe. » Et pouvoir incarner plus que jamais un modèle pour les jeunes footballeurs en herbe qui fréquentent la « Kada School International », cette structure sportive et éducative qu'il a ouverte avec Wilfried Sanou à Ouagadougou pour permettre aux enfants d'être scolarisés et de tenter, eux aussi, d'embrasser la carrière de footballeur professionnel.
Source Maville.com
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