Jonathan Pitroipa |
Jonathan, la finalisation du transfert a été longue, maintenant tout est réglé, tu es Rennais...
Oui il y a eu quelques difficultés mais c’est rentré dans l’ordre. Il y a toujours plusieurs détails à régler dans les transferts mais aujourd’hui je suis en stage avec le groupe et je vais bien me préparer pour faire une très bonne saison avec Rennes.
Peux-tu nous rappeler rapidement ton parcours ?
J’ai été formé à Planète Champion au Burkina-Faso de 12 à 17 ans. À 18 ans j’ai signé mon premier contrat professionnel avec Fribourg en Allemagne. Je suis resté dans ce club pendant quatre ans avant de rejoindre Hambourg pour trois saisons.
Tu étais convoité par plusieurs clubs en Europe. Pourquoi avoir choisi le Stade Rennais ?
J’ai d’abord discuté avec ma famille et mon agent. J’ai passé trois belles saisons à Hambourg où j’ai eu la chance de disputer deux années de suite les demies-finale de l'UEFA. Vers la fin cela devenait difficile de suivre le rythme, il y avait des changements constants d’entraîneurs (ndlr : Jonathan a connu cinq entraîneurs en trois ans) et il était de plus en plus difficile de s’adapter. Je savais que Rennes me suivait depuis un an et demi. Frédéric Antonetti me voulait car je rentrais bien dans son système de jeu. Le club a de belles ambitions, c’est aussi ce qui m’a poussé à venir ici.
Avant d’arriver, que connaissais-tu du SRFC ?
J’ai suivi beaucoup de matchs de Rennes la saison dernière. C’est une équipe jeune mais qui joue déjà bien au ballon. Le club a beaucoup d’ambitions mais il faudra travailler pour essayer d’obtenir des titres et se qualifier pour l’Europe.
Penses-tu que le Stade Rennais F.C. est le club idéal pour se faire un nom ?
Oui pourquoi pas. Le groupe joue bien ensemble. J’espère pouvoir me fondre dans le collectif. Hambourg est un très grand club et sur mes trois saisons je pense que je pouvais faire mieux. Ici j’aurai l’opportunité de jouer davantage et de m’affirmer.
Tu as signé à Rennes comme attaquant mais ce n’est pas ton poste de prédilection ?
Je suis formé pour être un milieu polyvalent. Je peux jouer à gauche, à droite ou dans l’axe mais j’ai déjà eu l’occasion d’être en attaque. Il faut que je travaille encore pour jouer et marquer, mais je délivre beaucoup de passes décisives.
Que t’as apporté le championnat allemand et que penses-tu de la Ligue 1 ?
La Bundesliga est un championnat assez difficile qui accorde beaucoup de place à la tactique. Je n’ai pas de regret de le quitter car j’y ai passé sept saisons. J'ai le sentiment d’y avoir fait le tour. Le championnat de France m’attire car si tu es doué techniquement tu peux faire la différence.
Quelles sont tes ambitions pour cette saison à venir ?
Je souhaite avant tout faire une saison pleine et réussie avec le Stade Rennais F.C. L’objectif sera de se qualifier pour la Coupe d’Europe. Personnellement je veux faire mieux ici qu’en Allemagne et montrer davantage mon talent pour servir l’équipe.
D’ou vient ce surnom de « Cristiano Ronaldo burkinabé » ?
Dans mon pays au Burkina-Faso, les supporters n’ont pas souvent l’occasion de voir des joueurs techniques. Dès qu’ils me voient ils sont très contents. Ils me surnomment ainsi mais je suis loin d’avoir toutes ses qualités. Je suis tout de même flatté de ce surnom, ça me pousse à me battre pour devenir encore meilleur.
Oui il y a eu quelques difficultés mais c’est rentré dans l’ordre. Il y a toujours plusieurs détails à régler dans les transferts mais aujourd’hui je suis en stage avec le groupe et je vais bien me préparer pour faire une très bonne saison avec Rennes.
Peux-tu nous rappeler rapidement ton parcours ?
J’ai été formé à Planète Champion au Burkina-Faso de 12 à 17 ans. À 18 ans j’ai signé mon premier contrat professionnel avec Fribourg en Allemagne. Je suis resté dans ce club pendant quatre ans avant de rejoindre Hambourg pour trois saisons.
Tu étais convoité par plusieurs clubs en Europe. Pourquoi avoir choisi le Stade Rennais ?
J’ai d’abord discuté avec ma famille et mon agent. J’ai passé trois belles saisons à Hambourg où j’ai eu la chance de disputer deux années de suite les demies-finale de l'UEFA. Vers la fin cela devenait difficile de suivre le rythme, il y avait des changements constants d’entraîneurs (ndlr : Jonathan a connu cinq entraîneurs en trois ans) et il était de plus en plus difficile de s’adapter. Je savais que Rennes me suivait depuis un an et demi. Frédéric Antonetti me voulait car je rentrais bien dans son système de jeu. Le club a de belles ambitions, c’est aussi ce qui m’a poussé à venir ici.
Avant d’arriver, que connaissais-tu du SRFC ?
J’ai suivi beaucoup de matchs de Rennes la saison dernière. C’est une équipe jeune mais qui joue déjà bien au ballon. Le club a beaucoup d’ambitions mais il faudra travailler pour essayer d’obtenir des titres et se qualifier pour l’Europe.
Penses-tu que le Stade Rennais F.C. est le club idéal pour se faire un nom ?
Oui pourquoi pas. Le groupe joue bien ensemble. J’espère pouvoir me fondre dans le collectif. Hambourg est un très grand club et sur mes trois saisons je pense que je pouvais faire mieux. Ici j’aurai l’opportunité de jouer davantage et de m’affirmer.
Tu as signé à Rennes comme attaquant mais ce n’est pas ton poste de prédilection ?
Je suis formé pour être un milieu polyvalent. Je peux jouer à gauche, à droite ou dans l’axe mais j’ai déjà eu l’occasion d’être en attaque. Il faut que je travaille encore pour jouer et marquer, mais je délivre beaucoup de passes décisives.
Que t’as apporté le championnat allemand et que penses-tu de la Ligue 1 ?
La Bundesliga est un championnat assez difficile qui accorde beaucoup de place à la tactique. Je n’ai pas de regret de le quitter car j’y ai passé sept saisons. J'ai le sentiment d’y avoir fait le tour. Le championnat de France m’attire car si tu es doué techniquement tu peux faire la différence.
Quelles sont tes ambitions pour cette saison à venir ?
Je souhaite avant tout faire une saison pleine et réussie avec le Stade Rennais F.C. L’objectif sera de se qualifier pour la Coupe d’Europe. Personnellement je veux faire mieux ici qu’en Allemagne et montrer davantage mon talent pour servir l’équipe.
D’ou vient ce surnom de « Cristiano Ronaldo burkinabé » ?
Dans mon pays au Burkina-Faso, les supporters n’ont pas souvent l’occasion de voir des joueurs techniques. Dès qu’ils me voient ils sont très contents. Ils me surnomment ainsi mais je suis loin d’avoir toutes ses qualités. Je suis tout de même flatté de ce surnom, ça me pousse à me battre pour devenir encore meilleur.
Source / Auteur : Stade Rennais F.C.
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